A propos

En 2020, Clémence Goubault étudie la photographie à l’Université de Westminster à Londres. En parallèle de ses études de langues anglaise et espagnole puis de littérature, sa recherche visuelle se construit autour de l’autoportrait. Le miroir devient son instrument pour questionner l’identité et le monde des apparences.

En 2022, elle rédige des critiques littéraires pour le média En attendant Nadeau : Un peintre se meurt sur La mort de Francis Bacon de Max Porter (Ed. Seuil, 2022). Sa série Errances miroitées poursuit le leitmotiv du miroir et décline un travail en couleurs. Ses photographies évoluent vers une recherche pictorialiste sur l’effraction du corps au sein du paysage.

En 2023, à l’issue de son stage de fin d’études à l’Agence VU’, elle achève un mémoire qui questionne la place des mots aux côtés des photographies. Depuis, elle s’oriente vers une production documentaire au long-cours.  Durant plusieurs mois aux côtés des populations touchées par le séisme d’Al Haouz, elle documente la résilience des villageois par un travail de proximité avec eux. Le Maroc occupe une place importante dans son questionnement du monde. Elle a d’autres travaux sur le Maroc en cours, notamment sur les cultivateurs amazighes en milieu semi-rural. Depuis septembre 2024, elle est basée au Caire.